1980, arrivée de Jacques de Pontac
Au milieu du XXème siècle, les prairies du château accueillirent pendant plusieurs années le concours hippique qui deviendra le ‘Jumping de Bordeaux’. Mais l’exploitation perd peu à peu de son ampleur et le château n’est plus entretenu. |
![]() Il faut attendre les années 1980 avec l’arrivée du Comte Jacques de Pontac, arrière-petit-fils de l’Amiral et descendant du fondateur du domaine, pour que l'exploitation viticole reprenne toute sa splendeur. Médaillé du Mérite Agricole, Jacques de Pontac a consacré sa vie à la conservation et au rayonnement de ce patrimoine familial, culturel et viticole, ainsi qu’à la renaissance du château de MYRAT, Grand Cru Classé de Sauternes en 1855 (www.chateaudemyrat.fr). A Peychaud, il entreprend de restaurer le château, agrandit le vignoble, qui passe de 12 à 28 hectares, réaménage l’intégralité des chais. Surtout, il ouvre largement les portes du domaine aux différentes associations locales. Considérant le vin comme un langage, il réussit à créer en trente ans une large clientèle de particuliers très fidèles à l’étiquette bleue.
La continuité... au fémininJacques de Pontac décédé en 2012, c’est tout naturellement que ses deux filles Slanie et Elisabeth décidèrent de poursuivre l’aventure familiale au sein du château Peychaud, œuvrant à la vigne, au chai et à la commercialisation. ![]() ![]() ![]() |